Laurence Jalbert

Ma réflexion


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Il est trois heures, c’est dimanche
Dans une heure, le soleil se lève
Toujours cette machine qui pense
Là, entre mes deux oreilles
Dans cet état, je suis franche
Je n’ai plus l’insouciance d’hier
Avenir et souvenance touchent la même frontière
Tout autour de mes yeux sont imprimés
Les chemins et les parcours
Bien dit "il était une fois, y a quelques années"

Et s’il me reste un peu de temps pour me rattraper
Pour ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu’ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C’est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu’un été
(Ta da da...)

Ce matin, j'n’ai pas d'réponse
J’en sais juste un peu plus qu’hier
Ça ne me permet pas de prétendre
Ni de te dire quoi faire
Par contre, je sais ce qu’est la chance
Je connais, qu’est-ce qu’un privilège?
L’un, c’est ta persévérance
L’autre, une sorte de mystère

Et s’il me reste un peu de temps pour me rattraper
Pour ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu’ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C’est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu’un été
(Ta da da...)

Pour un jour ou pour ton éternité
Tu porteras les atours
Ils seront brodés par toi et ta destinée

Et s’il te reste un peu de temps pour te rattraper
Pense à ceux qui laissent le rêve dans les valises
Qu’ils ne peuvent plus apporter
Mais ce qui blesse
C’est de ne pas avoir essayé
Quand il ne restait qu’un été
(Ta da da...)


Autor(es): Laurence Jalbert