Raphael

Happe


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Tu vois ce qu’on voit qui s’ébranle?
Nan, tu vois pas.

Tu n’es pas dans l’ombre,
Pas dans le triangle.

Comme quand tu faisais du zèle,
Comme quand je te volais dans les plumes,
Entre les dunes.
Par la porte entrebâillée,
Je te vois rêver,
A des ébats qui me blesse,
A des ébats qui ne cesse.

Peu à peu tout me happe,
Je me dérobe, je me détache,
Sans laissé d’auréoles,
Les cymbales, les symboles
Colle, on se rappelle, on se recolle.
Peu à peu tout me happe.

Le vent de l’orgueil,
Peut apaiser
Peut apaiser
Une poussière dans l’œil,
Et le monde entier soudain se trouble.

Comme quand tu faisais du zèle,
Comme quand je te volais dans les plumes,
Entre les dunes.
Par la porte entrebâillée,
Je te vois rêver,
Des romans fleurs asséchées,
Où Jadis on nageait.

Peu à peu tout me happe,
Je me dérobe, je me détache,
Sans laissé d’auréoles,
Les cymbales, les symboles
Colle, on se rappelle, on se recolle.
Peu à peu tout me happe.

Tu vois ce qu’on voit qui s’ébranle?
Nan, tu vois pas.


Autor(es): BASHUNG, ALAIN / FAUQUE, JEAN MARIE