
Vices
Cette nuit j'ai rêvé d'la mort, c'était un rêve prémonitoire
J'aurais aimé trouver les mots pour te raconter mon histoire
La musique m'a élevé, m'a fait oublier les ennuis
M'a bercé comme son petit lors de mes nombreuses insomnies
Je lui dévoile mes sentiments
Fonds en larmes sur son épaule
C'est plus qu'un pote, un confident
Qui m'écoute quand je me sens seul
On vit dans un monde insensé ou la colère se fait sentir
J'évite souvent les mauvaises ondes car j'en suis devenu la cible
Tellement peur d'être la risée gros, j'en ai perdu la raison
Pourtant ma vie n'est pas triste, pour certains, utopique
Elle est belle mais passe trop vite, un peu comme une équipe
Sous le bonheur, je l'ai molestée
Ma colère je la déteste, de la haine je suis infesté
Pour moi la vie n'est qu'un test
Alors j'ai écrit, jusqu'à avoir mal aux poignets
Pour que mes ailes d'ange daignent enfin se déployer
J'en suis devenu aigri, alimenté par le crime
J'en ai fait des crises en attendant qu'ma vie dégrise
Cette nuit j'ai rêvé d'la mort, c'était un rêve prémonitoire
J'aurais aimé trouver les mots pour te raconter mon histoire
La musique m'a élevé, m'a fait oublier les ennuis
M'a bercé comme son petit lors de mes nombreuses insomnies
Dans ma te-té ça tourne pas rond, tu sais que j'en deviens paro
J'en parle pas à mes parents, mon mal-être est permanent
Dans ce monde où certains survivent
Des petits cons comme moi se butent à la mélancolie
Ou encore, expriment leur tristesse sur des bouts de papier
Faut lever la tête putain
Quitter la zone où on a pied, fut un
Jour j'étais indifférent
Maintenant je ne perçois plus que des interférences
Tellement inquiet de voir mes vices
Je n'regarde plus le miroir
Je pensais savoir nager
Pourtant dans ses yeux, je me noie
Cette nuit j'ai rêvé d'la mort, c'était un rêve prémonitoire
J'aurais aimé trouver les mots pour te raconter mon histoire
La musique m'a élevé, m'a fait oublier les ennuis
M'a bercé comme son petit lors de mes nombreuses insomnies
Le rap je l'aime, je lui ai déclaré ma flamme
Le cœur gelé, je ne pense même plus aux femmes
Le rap je l'aime, je lui ai déclaré ma flamme
Le cœur gelé, je ne pense même plus aux femmes
Autor(es): Achille Baranes