Quentin Mosimann

Je L'Aime À Mourir


Imprimir canciónEnviar corrección de la canciónEnviar canción nuevafacebooktwitterwhatsapp

(Francis Cabrel)

Moi, je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits, je l'aime à mourir.
Vous pouvez détruire cout ce qui vous plaira.
Elle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras
Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire, je l'aime à mourir.
Elle a gommé les chiffres des horloges du quartier.
Elle a fait de ma vie des cocottes en papier, des éclats de rire.
Elle a bâti des ponts entre nous et le ciel
Et nous les traversons à chaque fois qu'elle
Ne veut pas dormir, ne veut pas dormir, je l'aime à mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte aujourd'hui.
Elle a dû faire toutes les guerres de la vie, et l'amour aussi.

Elle vit d'son mieux son rêve d'opaline.
Elle danse au milieu des forêts qu'elle dessine, je l'aime à mourir.
Elle porte des rubans qu'elle laisse s'envoler.
Elle me chante souvent que j'ai tort d'essayer
De les retenir, de les retenir, je l'aime à mourir.
Pour monter dans sa grotte cachée sous les toits
Je dois clouer des notes à mes sabots de bois, je l'aime à mourir.
Je dois juste m'asseoir, je ne dois pas parler.
Je ne dois rien vouloir, je dois juste essayer
De lui appartenir, de lui appartenir, je l'aime à mourir.

Elle a dû faire toutes les guerres pour être si forte aujourd'hui.
Elle a dû faire toutes les guerres de la vie, et l'amour aussi.

(Cuivres solo)

Moi, je n'étais rien et voilà qu'aujourd'hui
Je suis le gardien du sommeil de ses nuits, je l'aime à mourir.
Vous pouvez détruire tout ce qui vous plaira.
Elle n'aura qu'à ouvrir l'espace de ses bras
Pour tout reconstruire, pour tout reconstruire, je l'aime à mourir.
À mourir.


Autor(es): Francis Cabrel