L'odeur de la Pluie


J'ai tendance à voir l'abîme trop tard
Sous le firmament il fait beau te croire
Je ne vaux pas la corde pour me pendre
Que la Terre soit plate... on achève bien les hommes

Les continents dans les océans vont se dissoudre
Pour coaguler. Aux pauvres la fièvre
Encore faut-il me courber devant toi
Tu trouveras le diable tôt ou tard à découdre

J'irai finir mon rêve loin des fendeurs de crâne
Mon flamboyant ravi, serein


Autor(es): Cabaliros